acheter un diesel qui a peu roulé
Roulerau fioul domestique : des amendes qui peuvent être très élevées. Rouler au fioul est interdit dans plusieurs pays et considéré comme une fraude fiscale. Afin de vérifier le combustible utilisé, les gendarmes et les douaniers prélèvent du carburant dans le réservoir pour repérer des traces de coloration rouge.
Depuisle 1er janvier, la taxe sur le diesel a augmenté de 10 %. Mardi, dans les stations-service, les prix oscillaient entre 1,23 € et 1,50 €. Quasiment 7
Sila batterie est à plat, essayez de la relancer. Si la batterie ne tient pas la charge, remplacez-la et essayez de redémarrer votre voiture. 4. Démarrez votre voiture sans batterie. Si les câbles de la batterie sont bien fixés, utilisez un autre véhicule pour démarrer votre moteur.
Ladurée de détention : si vous comptez conserver votre voiture plus de 10 ans, pas de panique ! Vous pouvez sans problème acheter une voiture thermique. À moins qu’il ne s’agisse d’un modèle d’exception dont la valeur augmentera, la décote devrait rester stable et peut-être même se stabiliser.
Lesspécialistes de la chose estiment qu’un véhicule d’occasion qui dépasse les 200.000 km au compteur n’est plus fiable et ne trouvent pas souvent de preneurs. Les distances parcourues par un véhicule sont estimées à 15.000 km par an pour les voitures consommant de l’essence et 25.000 km pour les engins à diesel sur la même période.
nonton film my lecturer my husband season 2 full movie. Spéciale petits budgets aujourd'hui sur Caradisiac. Si le prix moyen d'une voiture d'occasion reste toujours au-dessus de la barre des 15 000 €, toutes tranches d'âge confondues, nombreuses sont les familles à ne pas pouvoir mettre autant. Loin, très loin de là... Pour certains, le porte-monnaie est beaucoup moins épais, et pour une voiture du quotidien, ou une seconde auto, le budget à ne pas dépasser reste cantonné à moins de 3 000 €. Pour ce prix, il ne faut pas espérer pouvoir s'offrir une compacte ou une familiale récente et peu kilométrée. Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser, il donne accès assez facilement à des mini-citadines style Renault Twingo, voire des citadines polyvalentes style Clio. Et pas forcément des modèles au bout du rouleau, nous allons le voir. Et plutôt fiables, du moins notre sélection va dans ce sens. Car le but, en achetant dans ces prix, n'est pas de doubler le prix d'achat en devant à court terme faire face à des frais d'entretien et de réparation faramineux. Suivez donc le guide, voici la sélection non exhaustive des meilleurs choix possibles pour la catégorie et le budget. 4 mini-citadines Citroën C1/Peugeot 107/Toyota Aygo La "triplette" PSA/Toyota fait régulièrement partie des sélections de meilleures citadines d'occasion. En effet, après quelques déboires de fiabilité pompe à eau, entrées d'eau, aujourd'hui résolus, elles se présentent toutes trois comme d'excellents choix. Véritables urbaines dans les gènes, elles se faufilent avec aisance dans les encombrements. Leur petit moteur 68 ch s'en sort très bien en zone urbaine, mais ne permettra que de courtes escapades en dehors. Il consomme très peu par ailleurs, ce qui rend l'alternative diesel, qui existe HDI 58 ch, peu pertinente, d'autant que ce dernier est rugueux et bruyant. À bord, la finition est spartiate et l'équipement juste suffisant, mais pas indigent, sauf en entrée de gamme. Pour 3 000 € aujourd'hui le choix est assez vaste, pour les trois modèles. Vous choisirez en fonction de vos goûts esthétiques ! Que ce soit l'une ou l'autre, un modèle de 2006 à 2008, affichant en moyenne 130 000 km, en finition Pack chez Citroën, Trendy chez Peugeot ou Confort chez Toyota, se trouve entre 2 500 et 3 000 €. Fiat Panda 2 La deuxième génération de Panda n'avait plus rien à voir avec sa rustique aînée. Elle est restée simple, mais plus moderne et confortable, beaucoup mieux équipée et tout aussi astucieuse. Niveau fiabilité, si l'on excepte de nombreuses campagnes de rappel pour la plupart préventives et des aléas d'assistance de direction, les autres soucis sont mineurs et pour la plupart résolus aujourd'hui. Ce qui fait que l'on peut acheter sans crainte une occasion, d’autant plus que pour le budget fixé, ce sera un modèle assez "récent", 2008 voire 2009, et peu kilométré si l'on s'en tient aux moteurs essence moins de 100 000 km parfois. Un 69 ch, le moteur que l'on vous conseille aura un peu plus de kilomètres 120 000 pour un prix de 3 000 €. Idéale pour la ville, elle reste en plus assez sobre. Sachez qu'un diesel Mjt aura pour le même prix 50 000 kilomètres de plus ! Kia Picanto On ne pense pas forcément à elle, mais la Picanto est une citadine accomplie, dont un des mérites, et non des moindres, est d'être super fiable. Elle est également agile dans la circulation urbaine, habitable par rapport à son gabarit, souple et discrète. Modestement motorisée, elle aura plus de peine à s'exprimer en dehors de la cité, mais pourra dépanner au besoin. Les petits 62 ch et 65 à 70 ch au maximum selon l'année sont pétillants sur les premiers rapports mais ils s'essoufflent assez vite. Il existe même un diesel CRDI 75 ch, vaillant y compris hors ville, mais rugueux et bruyant. L'équipement peut de son côté se révéler complet en finition Active clim'. On avait du mal à la trouver à moins de 3 000 € il y a quelques années mais aujourd'hui c'est possible. Pour ce budget, ce sera un modèle de 2005 à 2009, ayant en moyenne 120 000 km en essence, ou un diesel de 180 000 km. Renault Twingo Impossible de passer sous silence dans cette tranche de prix la petite Twingo, égérie des villes et des citadins de tout poil depuis 25 ans. Intelligente, astucieuse, elle a inauguré le concept de banquette coulissante, et se permet de proposer un espace habitable de Safrane à l'arrière, ou un coffre de compacte, au choix… Ses prestations routières sont limitées, même si elles ont été améliorées en cours de carrière, mais elles suffiront à ceux qui ne passent pas leur temps sur autoroute. Insonorisation et finition sont aussi limites, mais la présentation est gaie et colorée, ce qui aide à faire passer la pilule. On peut aujourd'hui trouver des Twingo de première génération, années 2005-2006, équipées du moderne 16v 75 ch, sobre et performant on surveillera cependant les bobines, peu fiables, pour moins de 2 500 € et parfois moins de 100 000 km. La finition Privilège, dotée de la climatisation, sera à privilégier. 6 citadines polyvalentes Dacia Sandero Une voiture estampillée "low-cost", seule représentante de cette tendance dans notre sélection. Il est vrai que la première génération reste loin des standards généralistes, contrairement à la seconde génération l'actuelle qui s'en rapproche. Si son prix en neuf est imbattable, les prestations globales sont franchement de bon niveau, si on les rapporte au prix payé. On pourra regretter, sans surprise, un manque d'insonorisation ou une finition moins léchée que sur les modèles généralistes, ainsi qu'un équipement réduit au strict nécessaire. Pour autant, le confort est supérieur à celui d'une Renault Clio ou d'une Peugeot 207, tout comme l'habitabilité et le volume de coffre. La fiabilité, de son côté, peut être considérée comme acquise. Pour le budget maxi, les modèles disponibles sont encore rares, la Sandero ayant son petit succès, ce qui fait stagner les cotes. On peut repartir toutefois avec une version essence 75 ch, ou même 72 ch équipée au GPL, année 2009 ou 2010, ayant en moyenne 160 000 km. Et la finition Ambiance sera la plus répandue. Honda Jazz Elle a inauguré, avec la Yaris Verso et le Meriva le concept de "minispace". La Jazz est une auto diablement homogène. Spacieuse, elle possède le volume de coffre le plus important de sa catégorie à l'époque, avec 380 litres. Pour 3,83 m, c'est exceptionnel. Elle est également parmi les plus fiables de sa catégorie, si ce n'est la plus fiable, avec la Mazda 2. Et son entretien est économique avec par exemple des moteurs à chaîne de distribution, ne nécessitant aucun remplacement, donc aucun frais. C'est l'archétype de la voiture qui démarre tout le temps, par tous les temps, et ne vous laisse jamais sur le carreau ou rarement. Cette première génération est désormais très abordable. On trouve des modèles 2003 à 2005, ayant parfois moins de 120 000 km, motorisé par un tonique et sobre de 78 ch, pour moins de 2 800 €. Mazda 2 Encore une japonaise, dont les marques sont définitivement abonnées à nos sélections occasion, essentiellement pour leur excellente fiabilité. Et c'est encore le cas de cette Mazda 2. Pour le budget, on va essentiellement se concentrer sur la première génération. Moins sexy que les suivantes, elle se présente, comme la Honda Jazz, sous la forme d'un minispace finalement très habitable et pratique. Disponible en essence de 75 ch, de 80 et de 101 ch en essence, et en diesel MZ-CD de 68 ch origine PSA, on la trouvera à moins de 3 000 € surtout en et Ce ne sont pas des foudres de guerre mais ils suffisent en ville. Le diesel est également présent, mais on ne vous le conseille pas. Son agrément est assez réduit et sa fiabilité beaucoup moins bonne. Concentrez-vous donc sur les petits moteurs essence. Un exemplaire de 2007 ou 2008, moins de 150 000 km en finition Harmonie clim fera votre satisfaction. Et vous pourrez profiter de l'espace à bord et au niveau du coffre, correct par rapport à la longueur mesurée 3,92 m. Peugeot 206 Elle fut pendant longtemps un best-seller sur le marché français et reste l'une des occasions les plus représentées sur le marché, même si elle baisse dans le classement, l'âge avançant. Toutes les versions ne se valent pas, mais en occasion à bas prix, un modèle essence 90 ch peut retenir votre attention, tout comme l'increvable d 70 ch. Le HDI 90 est aussi un excellent compagnon, un peu plus cher cependant. Et le 16v 110 ch est redoutable, mais attention aux bobines et au joint de culasse, il est moins bon que le 90 ch en fiabilité. Ces deux mécaniques plus modernes affichent dans la 206 un agrément appréciable. Les kilométrages seront assez élevés, mais ces mécaniques, si elles sont bien entretenues ce dont il faut s'assurer, peuvent parcourir 250 000 km sans gros soucis en essence et 300 000 km en diesel. Ce sont des mécaniques éprouvées. On trouve contre 2 900 € des XS ou XT Premium, qui sont bien équipées climatisation, airbags, antibrouillards, toutes fonctions électriques, millésime 2000, et dont le kilométrage sera inférieur à 120 000 km. En diesel, un D aura entre 170 000 et 230 000 km, rarement moins, un HDI 90 de 2002 en moyenne 210 000 km. Franchement, à moins d'être gros gros rouleur, privilégiez l'essence. Renault Clio 3 Elle se tirait la bourre avec la 207 avant la sortie des 208 et Clio 4. Et la troisième génération de la citadine fétiche du losange a souvent devancé la sochalienne en termes de vente. En seconde main, on en retrouve par dizaines de milliers. Mais beaucoup moins lorsque l'on ne s'intéresse qu'aux modèles de moins de 3 000 €. Ceci dit, ils se trouvent. Pour ce tarif, on n'aura en essence que des modèles avec le petit moteur 16v 75 ch, ou en diesel le dCi en 70 ch ou 85 ch. Le premier est peu juste pour rouler souvent chargé sur autoroute, les diesels sont plus adaptés, surtout le 85 ch. Sobre et performant, il emmène sans difficulté la voiture. La Clio 3 est par ailleurs reconnue comme très homogène, confortable, sûre et neutre de comportement, très rassurante. Et mieux finie et insonorisée que la rivale Peugeot. Sa fiabilité, même si pas "parfaite", est fort honorable comparée à la concurrence, la Clio 3 ayant bien redressé la barre après des années noires chez Renault. Dans le budget, les moteurs disponibles cotent à peu près la même chose, sauf que les diesels auront systématiquement plus de 200 000 km quand l'essence aura en moyenne 175 000 km. Évitez les finitions sans clim et privilégiez une Dynamique ou une Privilège. Toyota Yaris Il est toujours aujourd'hui difficile de trouver une Yaris à moins de 3 000 €. Il y a quelques années, c'était tout bonnement impossible. Preuve de la très bonne tenue de sa cote, et de son succès en occasion, même après plus de 15 ans ! Après l'arrivée de la 3e génération, les cotes ont toutefois chuté, et c'est devenu possible. La Yaris est une auto à mi-chemin entre une mini-citadine et une citadine polyvalente. Elle est cependant très habitable, et pratique, avec sa banquette coulissante copiée de la Twingo… Elle a la réputation d'être inusable c'est vrai et ultra-fiable c'est un peu moins vrai. Pour se prémunir des problèmes, c'est cependant facile, il faut éviter le diesel D-4D, et se pencher sur les moteurs essence, dont le VVTI 85 est le meilleur représentant. Il est performant, polyvalent et sobre. On trouve donc des Yaris de 2000-2001, Linea Luna ou Linea Sol, affichant environ 170 000 km oui, les kilométrages sont importants, mais ne doivent pas faire peur si l'entretien a été suivi, pour tout juste le budget imparti.
Lorsqu’une voiture n’a pas été utilisée depuis longtemps, la vigilance est de mise avant de tenter de la démarrer. Vous n’avez en effet aucune idée de ce qui s’est passé sous le capot pendant tout le temps où elle est restée immobile dans le garage. Quelques précautions sont à prendre pour éviter les déboires. Vérifiez si tout va bien sous le capot Si un beau jour, vous avez décidé de redémarrer une voiture qui n’a pas roulé depuis un certain temps, quelques petites vérifications s’imposent. Commencez par vérifier si le moteur est encore en bon état ou non. S’il semble hors d’usage, vous aurez besoin de l’intervention d’un mécanicien pour les réparations. Vous pouvez constater tout cela rien qu’en regardant les composants du moteur et surtout la batterie, la pièce sur laquelle repose l’alimentation électrique. Si cette dernière est détériorée, inutile d’essayer de redémarrer l’automobile. Vous devez d’abord penser à la remplacer. Par contre, si elle est opérationnelle, un nettoyage et un graissage des cosses s’imposent. Il faut ensuite la recharger. Une fois que c’est fait, retirez les bougies, puis versez un peu d’huile moteur et de gasoil dans les cylindres. Ce cocktail magique facilitera le démarrage et évitera le séchage de ces éléments qui favorisent la formation d’une gomme. À savoir que lorsque le moteur est gommé, le piston colle aux cylindres jusqu’à provoquer des dégâts une fois que la voiture roule. Autres points à vérifier avant de passer au démarrage L’allumage est un point important en matière de démarrage d’une voiture. Pour vérifier s’il fonctionne, équipez-vous d’une bougie neuve et placez ensuite son culot sur le bloc moteur. Si vous voyez une étincelle quand vous tournez le démarreur, cela veut dire que la voiture a toutes ses chances de démarrer. Dans le cas contraire, pensez à vérifier la bobine et le circuit électrique. Le problème peut aussi résulter de la tête d’allumage que vous pouvez tester en l’ouvrant. Pour avoir une étincelle, utilisez un tournevis pour écarter les vis platinées. Si le résultat est négatif, nettoyez ces dernières et répétez les gestes. Enfin, avant de procéder au démarrage, assurez-vous que la voiture dispose de suffisamment de carburant. Parfois, l’on oublie de jeter un œil dans le réservoir et l’on pense que le moteur est cassé alors que c’est loin d’être le cas. Privilégiez un démarrage tout en douceur Le démarrage d’une automobile qui est restée longtemps dans le garage doit être fait progressivement. Ne la brusquez pas, même si vous avez envie de faire une petite balade dans votre véhicule de collection. D’ailleurs, si tous les petits entretiens ont été correctement effectués, il devrait démarrer sans problème. Si ce n’est pas le cas, faites tourner le moteur à la main. Vous devez le faire à la manivelle si la voiture en est équipée. Si cette tentative se solde par un échec, votre dernière option est de la pousser.
Crédit photo Restrictions de circulation de plus en plus répandues, chute de la cote et saturation du marché de l’occasion, nouvelles exigences environnementales, etc. la revente d’une voiture diesel devrait mécaniquement devenir de plus en plus difficile. Il y a 20 ans… Envisager l’avenir de l’automobile commence par un petit retour en arrière. Il y a 20 ans, par exemple, il y avait 3 voitures dans mon foyer une Citroën Ami 6 break pour le fun, une DS 21 IE Pallas au GPL par passion, et une Volvo 240 break diesel pour sa robustesse. Je pouvais utiliser l’une ou l’autre pour aller au bureau, à 25 kilomètres de la maison. J’aimais le bruit caverneux du 6 cylindres d’origine Volkswagen. Increvable ! Quelle santé après déjà km au compteur. Mais derrière, à chaque accélération, il y avait cette inévitable fumée noire qui tourbillonnait depuis l’échappement, laissant pourtant totalement indifférent les gendarmes. J’ai fini par jouer du tournevis pour obtenir un mélange si pauvre que la brique suédoise était devenue aussi molle que l’Ami 6 dans les côtes. Mais la fumée avait disparu. Le cas des voitures de collection… J’ai revendu cette 240 peu de temps après. Et j’ai roulé au quotidien avec des anciennes que je conservais peu souvent, histoire d’en découvrir le plus possible. La chambre familiale se trouvant juste au-dessus du garage mal isolé, les démarrages au starter polluaient rapidement l’air de la maison. Dans les premières années du XXIe siècle, les prises de paroles sur la qualité de l’air étaient déjà nombreuses et bien argumentées, pour qui voulait bien les écouter. J’ai anticipé la chute de la cote des voitures anciennes et de probables restrictions de circulation en remettant à plat le parc familial roulant retour du GPL, et première voiture électrique en 2007. Contrairement à ce que je pensais, la dégringolade des prix de vente sur l’automobile ancienne n’a pas eu lieu. Tout cela pour dire que certains scénarios qui paraissent proches et inévitables peuvent ne jamais se dérouler. …n’est pas reproductible au diesel Au nom de la sauvegarde du patrimoine industriel, la Fédération française des véhicules d’époque a pris soin d’empêcher que les voitures anciennes soient les principales victimes de la lutte contre la pollution et le réchauffement climatique. Leurs propriétaires étant finalement peu nombreux à les employer pour leurs déplacements quotidiens, la voix de la FFVE n’a pu eu de mal à persuader le gouvernement que les émissions à l’échappement des oldtimers » n’ont que peu d’impacts sur l’environnement pour des usages auto-restrictifs. Concernant les diesel récents, c’est tout le contraire ! Ces véhicules sont utilisés pour tous les déplacements, petits et grands. Les divers groupements de constructeurs et les associations d’automobilistes ont bien essayé de plaider la cause des moteurs alimentés au gazole. Mais la mobilisation des gouvernements européens, de grands pays d’Asie, et d’Etats américains est telle que la marche pour sortir du diesel est devenue la plus forte. Le dieselgate l’a en partie bien nourrie. Musk enfonce le clou Qui, s’il est sain d’esprit, prendrait encore le risque d’acheter une voiture à moteur thermique au-delà de 2025 sachant que sa valeur de revente sera nulle ? […] Les valeurs de revente des voitures essence et diesel chuteront dans les années à venir », affirme Elon Musk dans un tweet daté du 10 février dernier. Your comment above “Who in their right mind would buy an ICE after 2025 knowing its residual value will be zilch? Legacy auto go EV or go BUST!” is super important for car buyers. Residual values for gas/diesel cars will plummet in coming years. — Elon Musk elonmusk February 10, 2020 Bien sûr, on pourra toujours rétorquer que le boss de Tesla est juge et partie, légitimant ainsi son industrie et draguant les automobilistes pour booster davantage ses affaires. Mais ses prévisions ne sont que le résultat d’une suite logique restriction d’utilisation = moins d’intérêt ; moins d’intérêt = moins d’achat ; moins d’achat = chute des prix. Si la direction prise par les dirigeants des Etats, de faire disparaître dans relativement peu de temps les véhicules essence et diesel, n’est pas entravée, alors la situation décrite par Elon Musk se confirmera de façon inéluctable. Des scénarios à envisager Qu’est-ce qui pourrait enrayer ce mécanisme ? Un rejet mondial, massif et bloquant de la part des automobilistes ; la mise au point rapide de biocarburants dont les bénéfices sur l’environnement seraient reconnus très majoritairement par les scientifiques et les décideurs politiques ; l’assurance que le développement de la mobilité électrique serait un mal bien plus grand que les carburants d’origine fossile ; un blocus de l’industrie de l’automobile ; la force de persuasion d’un dirigeant ou d’un groupe de dirigeants à la tête de nations d’envergure, etc. Et pourquoi pas finalement une combinaison d’un peu tout cela ? Rejet bloquant des automobilistes La précarité sociale et l’emploi poussent de plus en plus de citoyens à reléguer les problèmes environnementaux et de santé publique assez loin dans leurs préoccupations. La crise des gilets jaunes en témoigne. Quand la fin du mois n’est pas assurée, que l’on doute sur son existence à court ou moyen terme, comment se projeter dans plusieurs dizaines d’années et penser à une planète saine pour sa descendance ? La révolution française débutée en 1789 a essaimé hors des frontières de l’Hexagone. Aujourd’hui, avec la mondialisation et les réseaux sociaux, un embrasement quasi planétaire est toujours possible, qui stopperait, face à l’urgence, les politiques environnementales en cours de développement. Dans un tel contexte, poussé à l’extrême, les ventes de voitures diesel, comme celle des électriques, seraient perturbées et nombre d’exemplaires détruits dans la vague contestataire. Mise au point rapide de biocarburants A base d’algues ou de déchets, la palette des biocarburants pourrait se faire très large. Des produits sont très prometteurs, mais restent à l’état de recherche pour diverses raisons coût de production, étroitesse de la source, exploitation de terres vivrières, pollution et émissions de CO2 à différents endroits de la chaîne, manque de soutien, distribution difficile, poids des lobbies pétroliers et industriels, concurrence avec une utilisation dans d’autres filières, etc. Quand on totalise le temps qu’il faut pour que le bioGNV et l’hydrogène soient disponibles pour les automobilistes et que les pouvoirs publics leur donnent une légitimité dans la mobilité durable, la probabilité apparaît très faible pour qu’un biocarburant de substitution au gazole, éprouvé, efficace et très vertueux soit distribué dans les stations-service dans moins de 5 ans. Nocivité de la mobilité électrique Maintenant que la marche de la mobilité électrique est enclenchée, il est peu probable qu’elle s’arrête rapidement au motif qu’elle serait plus nocive que l’exploitation des énergies fossiles. Certes, des points à corriger, il y en a ! Des démarches sont déjà en cours pour le cobalt, le lithium, la production verte d’électricité, la stabilité des réseaux, etc. Pour éliminer la mobilité électrique désormais, il faudrait que la nocivité gangrène tout l’écosystème, y compris les développements actuels et les perspectives de progrès. Or, que ce soit sur le recyclage des batteries, les matériaux plus ou moins rares qui entrent dans leur composition, les nouvelles chimies exploitables, la disponibilité de l’énergie, etc., les recherches témoignent d’une mobilité électrique qui serait de plus en plus vertueuse. Ne serait-ce que parce qu’une voiture diesel peut être remplacée au quotidien par un vélo ou une trottinette électrique. Blocus de l’industrie de l’automobile Chez Peugeot, Fiat, Mercedes, et ailleurs, des voix de dirigeants de l’industrie de l’automobile se sont élevées pour ralentir et/ou empêcher le développement de la mobilité électrique. Mais les grandes instances, comme l’Union européenne par exemple, n’ont pas cédé, donnant au contraire un coup de tournevis de plus qui a eu pour effet de mobiliser les constructeurs sur des objectifs de plus en plus contraignants. Pour que certains d’entre eux ne disparaissent pas, il a fallu imaginer dans l’urgence des regroupements. Ainsi Fiat-Chrysler Automobiles qui est passé sous le giron de PSA il y a quelques mois. Les dirigeants les plus opposés à la mobilité électrique ont dû s’adapter ou partir. Nombre de groupes ont désormais très lourdement investi pour réussir le virage électrique. La filière n’a plus d’autre choix que d’accompagner les décisions prises fermement par l’Europe, le Chine, l’Inde, etc. Force de persuasion de dirigeants politiques On pense immédiatement au président américain Donald Trump qui torpille à tout va dans son pays et sur la scène internationale, en commençant par les fameux Accords de Paris. Mais concernant le développement de la mobilité électrique, si son climato-scepticisme intéressé a balayé sur son territoire des politiques d’aide à l’équipement en véhicules branchés, l’Europe et la Chine n’ont que faire de ses prises de position qui un coup diabolisent Elon Musk et l’élèvent ensuite au rang de héros national. Comme les constructeurs, les Etats les plus engagés dans l’électromobilité ont effectué de très lourds investissements pour la placer au centre de la mobilité durable. Pas question de faire marche arrière sans raisons valables. C’est le cas de la France. Les portes de sorties revente à l’étranger… Sauf accident de parcours, une voiture diesel sera difficile à revendre dans 5 ans en France, et très vraisemblablement à un prix très bas par rapport à aujourd’hui pour un modèle équivalent, de même ancienneté, et d’un kilométrage proche. Acheter un diesel neuf désormais semble donc bien relever a minima d’une grande imprudence. Deux portes de sortie peuvent cependant être envisagées. La première, très incertaine, est la revente du véhicule dans un pays où les dirigeants politiques ne sont pas très regardants sur l’impact des transports au niveau de l’environnement et de la santé publique. L’attrait vers ces destinations accentuerait les flux d’exportations et les prix finiraient également par chuter. …et rétrofit électrique Seconde possibilité le rétrofit électrique. Bientôt légalisé en France, il permettra de prolonger la vie des diesel plus ou moins récents avec un groupe motopropulseur à batterie de traction ou pile hydrogène. L’opération coûtera plusieurs milliers d’euros. Mais il apparaît que cette solution serait la plus acceptable quand il deviendra compliqué de rouler avec une voiture alimentée au gazole, en particulier en raison des restrictions de circulation qui les évinceront de plus en plus de territoires très urbanisés. Sauf si un usage professionnel incontournable et intensif impose l’achat d’une voiture diesel neuve, et en attendant de se sentir prêt à emboîter la marche de la mobilité durable, la meilleure attitude consiste encore à observer finement l’évolution des marchés de l’automobile, histoire de ne pas gaspiller inutilement son argent.
Dès l’achat d’une voiture neuve ou d’occasion, l’automobiliste se préoccupe de la durée de vie de sa dernière acquisition. Les gros rouleurs ont tendance à miser sur le diesel pour son endurance tandis que les citadins privilégient l’essence. Sur le long terme, quelle motorisation est en mesure de parcourir le maximum de distance ? Combien de kilomètres pour un diesel ? Le cap des 200 000 km Pour les conducteurs, le cap des 200 000 km représente une étape importante dans la vie d’une auto. En effet, à partir de ce stade, il faudra l’entretenir avec minutie et plus souvent pour assurer le bon fonctionnement de la mécanique. Une fois la barre des 200 000 km dépassée, certains automobilistes envisagent même de changer de voiture le plus rapidement possible. Ils s’éviteront ainsi les dépenses liées à l’entretien d’une auto vieillissante. De plus, au fil du temps, certains modèles ont tendance à consommer plus de carburant. Sur le marché de l’occasion, un véhicule affichant ce kilométrage au compteur est en fin de vie aux yeux des acheteurs. Des voitures d’occasion avec plus de 200 000 km représentent pourtant une bonne affaire pour les clients disposant de petits budgets. Il s’agit en somme de trouver une offre proposant le meilleur rapport qualité-prix. Refonte du bloc diesel Dans l’univers auto, les diesels bénéficient d’une solide réputation en matière de stabilité et de longévité. Ce type de motorisation donne en effet la possibilité de parcourir de longues distances tout en consommant moins qu’un modèle essence. Les diesels sont par ailleurs reconnus pour leur fiabilité et leur tenue de route exemplaire. Encouragés par la renommée de cette catégorie, les constructeurs ont développé une large gamme de blocs diesel et s’orientent davantage vers le marché des sportives. Pourtant, cette nouvelle conjoncture a transformé en profondeur les caractéristiques de cette motorisation. Kilométrage maximum pour un diesel Aujourd’hui, la gamme des blocs diesels est particulièrement riche grâce à des innovations telles que les turbos à géométrie variable, les systèmes d’injection directe et les common-rail injections directes à haute pression. Cependant, ces nouvelles architectures ont un inconvénient. Elles ont modifié les spécificités ayant fait la renommée du diesel. Au lieu des 500 000 km voire plus attendus par les gros rouleurs, la durée de vie de ces voitures a été considérablement réduite. Cependant, ces valeurs dépendent entièrement de la qualité de l’entretien. En effet, la longévité d’un véhicule se base sur la régularité de la maintenance et les diverses précautions prises par le propriétaire. Ainsi, un chauffeur de taxi grec, Gregorios Sachinidis, a réussi à dépasser le cap des 4,6 millions de kilomètres avec une Mercedes 240D de 1976. Certes, il s’agit d’un ancien modèle, mais les nouvelles architectures des blocs diesel peuvent aussi jouir d’une durée de vie plus longue avec l’entretien adéquat.
Devant les sommes importantes engagées, le choix d’un véhicule ne s’effectue jamais au hasard. Pour optimiser son budget, il peut ainsi être utile de prendre en considération l’usage que l’on fera de l’automobile pour déterminer un modèle article n'a pas été rédigé par les journalistes de choix du carburant est toujours une problématique centrale lors de l’acquisition d’un nouveau véhicule. En parallèle des spécificités propres à l’essence ou au diesel, le type de carburant influence de façon directe le budget mensuel alloué à l’automobile. Et pour les petits rouleurs, le choix paraît évident c’est vers l’essence qu’il faut généralement se tourner, ou encore vers l’électrique !La raison principale de l’attractivité de l’essence sur le diesel quand on roule peu ? Les véhicules fonctionnant au sans plomb se vendent en moyenne moins cher que leurs équivalents diesel. Sur un modèle standard, de type citadine ou compacte, la différence atteint rapidement plusieurs centaines d’euros. Elle est d’autant plus marquée que l’on monte en gamme. On retrouve une situation similaire sur le marché de l’occasion. En raison d’une décote plus rapide, les voitures essence offrent de nombreuses opportunités aux automobilistes souhaitant acquérir un véhicule sans trop piocher dans leur vous êtes un petit rouleur, il n’est pas forcément avantageux d’investir dans un véhicule diesel. Le surcoût lié à l’achat ne sera en effet que difficilement compensé par des frais en carburant plus bas. Le cours de gazole atteint aujourd’hui des niveaux historiques et la courbe de prix des deux carburants tend progressivement à se rejoindre. La voiture électrique propose une troisième voie en raison de ses consommations très réduites, bien qu’il faille prendre en compte la location de la batterie et la problématique du automobilistes qui roulent peu prennent essentiellement le volant de leur véhicule pour rejoindre leur travail ou se rendre au supermarché. Parfois, l’automobile est également utilisée pour partir en vacances, le plus souvent une fois par ce contexte, nul besoin d’acquérir une voiture de grosse cylindrée. Une automobile moins puissante, mais au bon rapport qualité/prix, suffira largement à combler vos besoins. Pensons par exemple aux citadines, aux compactes, voire aux petits vous êtes parent d’une famille nombreuse, il sera peut-être nécessaire d’investir dans une berline, un break ou un monospace. Ce type de véhicule étant plus onéreux à l’achat, pensez donc bien à estimer précisément votre futur budget auto. Des simulateurs de crédit en ligne vous permettront de trouver l’offre de prêt auto la plus adaptée à votre situation. Le modèle que vous aurez choisi impactera directement le montant de votre prime d’assurance. D’un point de vue général, à prestations égales, vos mensualités seront d’autant plus élevées que votre véhicule sera puissant. C’est un facteur à prendre en compte si vous souhaitez optimiser votre que les assureurs ont récemment développé des offres spécialement pensées pour les petits rouleurs. Leur raisonnement est simple moins l’automobiliste roule, moins il a de chance d’être victime d’un accident. Leur intérêt est donc d’encourager ce genre de comportement. L’assurance auto au kilomètre permet ainsi de réduire de 5 à 30 % le montant de la cotisation. En échange, le conducteur s’engage à respecter un forfait kilométrique déterminé à l’avance.
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