a quel age peut on commencer le tennis

Lesarticles s’attachent à mettre en évidence les rapports entre données sociologiques (âge, sexe mais surtout classes sociales) et le sport (tennis, boxe, parachutisme, rugby), les styles de jeu en fonction des groupes sociaux (football, tennis) et l’histoire sociale du sport. C’est la revue dans laquelle le sport est le plus présent, on peut y percevoir une orientation marquée Aussi il arrive très souvent que l’on prédéfinisse ses objectifs avant de commencer la musculation. Si c’est votre cas, vos objectifs ne sont peut-être pas les mieux adaptés pour votre condition physique. Le coach sportif va donc chercher à se focaliser entièrement sur votre profil (votre âge, votre poids et vos capacités Fairedu sport chez les jeunes peut être l'une des plus grandes expériences de la vie d'un jeune. De nombreux parents sont plus qu'heureux de voir leur enfant pratiquer des sports tels que le baseball, le basketball, le football, le tennis ou le golf, mais certains pourraient être inquiets à propos de la participation au football. Sommaire Reprendre ses études à 30, 40, 50 ou 60 ans, c’est possible ! Formation à distance, cours du soir, PTP, CPF. Si vous avez envie de changer de carrière, renseignez-vous ! Il n’y a pas d’âge pour étudier ! Débuterle sport à partir de l’âge de 4 ou 5 ans. Il est possible de débuter la pratique du football vers l’âge de 6 ou 7 ans. C’est en effet à partir de cet âge que les clubs de football nonton film my lecturer my husband season 2 full movie. Nan, c'est pas tout a fait ca. Je n'ai aucune connaissances de ce type de sport, ce que je souhaite savoir, sans vouloir me prendre pour Nadal, c'est en combien de tps, avec un entrainement assidu, me sera t il possible de démarrer la compétition, car comme je l'ai dit plus haut, j'ai tjs envie de me mesurer aux autres, j'ai la compét dans le sang. si tu me demandes si a 30 ans, tu peux commencer la compét de vélo route, sans jamais avoir fait du sport auparavant, alors je te dirais que seule les cyclosportives sont envisageables, car sinon c'est 120 km a 39 km/h de moyenne, ca ne se fait pas comme ca. Bref, tu vois ou je veux en venir ? C'est plutot le nbr d'années necessaires que je voudrais évaluer ! Ps je mesure 1m70 lol ! Les sports pour enfants sont un bon moyen de promouvoir la forme physique. Mais tous les enfants ne sont pas doués pour les mêmes choses et donc pour les mêmes sports. Chacun doit trouver l’activité qui convient le mieux à sa condition physique et à ses préférences. Quel sport devrions-nous choisir pour nos enfants afin qu’ils s’amusent en plus d’être en bonne santé ? L’importance de l’activité physique pour les enfants Les enfants, quel que soit leur âge, ont besoin d’activité physique. Le sport est un moyen amusant pour eux de rester actifs, ainsi que d’acquérir de nouvelles compétences. Selon l’Organisation mondiale de la santé OMS, les enfants âgés de 5 à 17 ans devraient pratiquer au moins 60 minutes d’activité physique modérée à intense chaque jour. En faire plus longtemps apporte des avantages supplémentaires et réduit le risque d’obésité. Pour tirer le meilleur parti de l’activité physique à ces âges, il est important de tenir compte des capacités de chaque enfant, et cela dépend en grande partie de son âge. Par conséquent, ces facteurs doivent être pris en compte avant de commencer, afin que les résultats soient positifs. Dans certains cas, les parents et les enfants peuvent même faire du sport ensemble. Les activités sportives pour les enfants en fonction de leur âge Il est probable que chaque enfant ait déjà ses préférences et des capacités naturelles pour certains sports ou activités. Un enfant peut être plus habile avec un ballon qu’un autre, ou avoir plus de facilité à faire du vélo. Il est important de garder cela à l’esprit, car, dans le cas contraire, les enfants risquent de se frustrer et de ne pas vouloir jouer. En fonction de cela, il est conseillé De 2 à 5 ans Avant l’âge de 6 ans, un enfant n’a généralement pas les capacités motrices de base pour pratiquer des sports organisés la capacité d’attention et l’équilibre sont limités. Dans cette tranche d’âge, il est conseillé d’opter pour des activités axées sur les compétences de base telles que Courir Nager Sauter Lancer et attraper Faire du vélo ou du tricycle Le moyen le plus efficace est de le faire au travers du jeu actif, car à cet âge, la capacité d’attention est courte et ils apprennent mieux en explorant et en expérimentant. Il est conseillé d’éviter la concurrence. De 6 à 9 ans Dès l’âge de 6 ans, les enfants ont tendance à avoir des capacités motrices plus élémentaires pour les sports organisés, même s’ils peuvent avoir un peu de mal à comprendre et à se souvenir de concepts tels que le travail en équipe et les stratégies. Dans cette tranche d’âge, ils peuvent pratiquer des sports tels que Courir Nager Football Tennis Arts martiaux Gymnastique Ski Patinage à roulettes Pour les sports d’équipe tels que le basket-ball, le handball ou le volley-ball, ils peuvent encore présenter certaines difficultés, car ils nécessitent des capacités visuelles et motrices plus complexes. Le sport, comme dans le cas précédent, devrait se concentrer sur l’apprentissage de nouvelles compétences plutôt que sur le fait de gagner. De 10 à 12 ans Les enfants à ces âges sont déjà prêts à pratiquer des sports plus complexes, car ils ont déjà développé des capacités motrices et une plus grande capacité cognitive. Il faut également tenir compte du fait que c’est l’âge où commence la puberté, où les différences physiques entre eux sont les plus marquées, ce qui peut faire la différence à l’heure de choisir le type de sport. Ceux qui commencent la puberté plus tôt auront, dans la plupart des cas, certains avantages physiques par rapport aux autres. C’est pourquoi, pour ceux qui sont désavantagés, il peut être utile de pratiquer des sports tels que la natation ou les arts martiaux. En bref, quels que soient l’âge et le sport choisis, l’essentiel est que les enfants s’amusent en étant physiquement actifs. Pour ce faire, les parents doivent d’abord les aider à choisir le bon sport et ensuite leur servir de modèle, tant en ce qui concerne l’esprit sportif que l’engagement. Sources Clinique Mayo Organisation mondiale de la santé OMS Ce qu’on ne vous dit pas sur les bêta-bloquants Les bêta-bloquants sont des médicaments contre l’hypertension. Vous avalez un médicament et, boum, sans aucun autre effort, votre pression artérielle diminue. Miracle ? Pas du tout. Pourquoi personne n’explique ceci ?? Personne n’explique jamais avec des mots simples comment marchent les médicaments. Pourquoi ? Parce que tout le monde a intérêt à entretenir le flou. Cela permet de maintenir le public dans l’illusion que les médicaments sont des sortes de pilules magiques. On justifie à la fois le prix des consultations, les délais pour consulter qui s’allongent constamment pour obtenir la sacro-sainte ordonnance », sésame indispensable pour mettre la main en pharmacie sur la pilule magique ; et surtout le coût des médicaments, toujours supérieur 100, 1000 ou 10 000 fois à leur coût de fabrication. Permettez-moi donc de vous expliquer en quelques mots comment marchent les bêta-bloquants. Cela n’est pas si technique que ça et, une fois que vous aurez lu, tout vous paraîtra clair comme de l’eau de roche. Mais venons-en au fait Courte histoire des bêta-bloquants Vous savez ce qu’est l’adrénaline. C’est cette substance que votre corps produit en cas de peur, de stress, d’excitation. Bourré d’adrénaline », vous éprouvez une euphorie, une énergie, vous partez à l’assaut des sommets la fleur au fusil. Mais physiquement, que se passe-t-il ? Votre cœur bat dans votre poitrine et dans vos tempes. Votre respiration s’accélère. Vous transpirez, vous tremblez, même. Votre pression sanguine monte. Tout cela s’explique très simplement. Les cellules du cœur, des artères et des poumons, sont tapissées de récepteurs d’adrénaline. Les scientifiques l’ont constaté dès le 19e siècle, à l’aide de microscopes très primitifs. L’adrénaline est fabriquée par des glandes se trouvant sur les reins d’où le non ad-rénal-ine, lorsque vous détectez dans votre environnement une raison de stresser. Elle passe dans votre sang et se fixe sur tous ces récepteurs dans le cœur, les artères, les bronches. Les cellules, alors, absorbent de l’oxygène et se contractent. C’est pourquoi la pression sanguine monte, le rythme cardiaque et la respiration s’accélèrent. Vous sentez votre cœur qui bat dans votre poitrine, c’est l’excitation, vous brûlez plus de calories, votre niveau d’énergie bondit. Une fois cette découverte effectuée, il ne fallait pas être prix Nobel pour imaginer que, si on découvrait un poison capable d’empêcher ces récepteurs d’adrénaline de fonctionner, le cœur, les artères, les bronches deviendraient indifférentes à la montée d’adrénaline dans le sang. Quelle que soit la quantité d’adrénaline produite par les reins ou plus précisément, les glandes surrénales fixées sur les reins, l’individu resterait calme, le cœur n’accélérerait pas, ni sa respiration. Mieux, dans le cas d’une personne hypertendue, surexcitée, il suffirait de lui donner ce produit bloquant ces récepteurs à adrénaline, pour voir baisser sa pression sanguine, ralentir son rythme cardiaque, et diminuer son niveau de stress – comme par miracle. Oui, évidemment, me direz-vous. Mais il ne fallait pas être un génie non plus pour deviner que, en bloquant les récepteurs d’adrénaline, on déclencherait toute une série d’effets nocifs plus ou moins catastrophiques. Le corps humain, en effet, est une machine compliquée mais plutôt bien faite. Si ces récepteurs à adrénaline existent, il doit bien y a avoir une raison. Et commencer à perturber ces subtiles équilibres est téméraire. Mais les chercheurs se sont dit on verra plus tard pour les éventuels effets indésirables ». D’abord, trouvons ce produit bloquant les récepteurs. » La tâche n’était pas très compliquée. En 1948, le célèbre chercheur Raymond P. Ahlquist avait découvert qu’il y avait deux catégories de récepteur à adrénaline, les récepteurs alpha et les récepteurs bêta. Ces récepteurs furent mis dans des éprouvettes et des chimistes versèrent dessus toutes les teintures, peintures, dérivés du pétrole possibles et imaginables, jusqu’à ce que l’un d’entre eux parvienne à les désactiver. La tâche fut entreprise dans les installations de la multinationale chimique Imperial Chemical Industries ICI près de la ville industrielle de Manchester. Après quinze ans, il s’en trouva deux, le propanolol et le pronethalol, toutes deux dérivées du pétrole, à faire cet effet sur les récepteurs bêta. Les bêta-bloquants » étaient nés. Sans bien sûr s’embarrasser d’expliquer aucun de ces détails aux cardiaques, hypertendus et angoissés qui venaient les consulter, les cardiologues se mirent à distribuer les bêta-bloquants » à grande échelle. Ce fut une catastrophe immédiate pour le pronéthanol. On s’aperçut rapidement qu’il provoquait le cancer du thymus une glande en haut de la poitrine. Le propanolol provoquait lui aussi toutes sortes d’effets secondaires mais il faut maintenu sur le marché et connut un succès commercial gigantesque. Quand le brevet expira, toutes les firmes pharmaceutiques rivalisèrent pour faire breveter une nouvelle version de la même molécule, très légèrement modifiée pour justifier une nouvelle formule, donc un nouveau nom et un nouveau prix, mais sans aucun bienfait supplémentaire pour les patients. Le chimiste qui découvrit le propanolol et le pronéthanol, James Black, fut bien sûr récompensé du prix Nobel de Médecine en 1988, pour ses bons et loyaux services rendus à l’industrie pharmaceutique, dont il avait boosté les ventes de façon prodigieuse. Aujourd’hui, les bêta-bloquants restent un des médicaments les plus largement prescrits. On les prescrit pour l’hypertension, mais aussi pour réguler le rythme cardiaque arythmie, contre les douleurs cardiaques angor mais même contre le stress, les angoisses, le glaucome problème d’yeux. Le public continue à supposer que, puisque ces médicaments sont autorisés, et distribués, c’est qu’ils sont d’une façon ou d’une autre sûrs », voire même bons pour la santé ». Malheureusement, après des décennies d’omerta, la vérité qui était pourtant évidente dès le départ, émerge tranquillement. Et elle est effrayante. On s’aperçoit que les bêta-bloquants sont beaucoup trop prescrits. Certes, des études ont montré de façon nette qu’ils sont utiles pour éviter les accidents cardiaques lors des opérations chirurgicales cardiovasculaires. Le problème est que, sur la base d’études scientifiques biaisées, ils sont aussi utilisés en Europe lors de toute opération chirurgicale, même lorsqu’elles ne concernent pas le cœur ni les artères. Or, dans ce cas là, les bêta-bloquants augmentent de 27 % le risque de décès pendant ou après l’opération. 27 % est un nombre colossal, vue les dizaines de millions d’opérations non-cardiaques qui ont lieu tous les ans. Cela représente 800 000 morts en Europe sur les 5 dernière années. Des chercheurs ont eu l’audace de l’écrire dans le European Heart Journal L’été dernier, des chercheurs britanniques ont provoqué de l’inquiétude lorsqu’ils ont publié un article soulevant la possibilité que, en suivant les indications officielles, les médecins britanniques pourraient avoir causé 10 000 morts par an », écrivait Larry Husten, directeur éditorial du plus grand site d’information santé professionnel des Etats-Unis WebMD professional news. Aujourd’hui, ils sont allés un pas plus loin et ont publié une estimation selon laquelle ces mêmes indications auraient conduit à la mort de 800 000 personnes en Europe sur les 5 dernières années… » Ces 800 000 morts sont comparables en nombre aux pires cas de génocide et de meurtre de masse dans l’histoire récente. » Puis, bizarrement », l’article a été retiré du site Internet. Un silence de plomb s’est abattu. Et tout continue comme avant. Les petits changements font de grands effets Si vous avez des problèmes de cœur, d’artère, si vous avez déjà eu un accident cardiovasculaire, la chose la plus efficace est de faire de petites améliorations de votre mode de vie. Recevez votre dossier offert SUR LES SOLUTIONS NATURELLES CONTRE L’HYPERTENSION via la lettre gratuite Santé Nature Innovation! Une récente étude publiée dans le British Medical Journal observe que manger une simple pomme chaque jour pourrait aider à prévenir autant de décès cardiovasculaires chez les personnes de plus de 50 ans que la prise quotidienne d’un médicament anticholestérol statines. [1] Une autre étude avait montré précédemment que faire un peu de sport est aussi efficace contre le diabète et les médicaments cardiovasculaires, que les médicaments. [2] J’insiste sur ces petits changements car l’expérience montre combien il est difficile de changer de vie complètement. Une personne sur six diagnostiquée du cancer du poumon fume toujours 5 mois après leur diagnostic si elles ne sont pas encore décédées. [3] La plupart des diabétiques de type 2 continuent à manger trop de sucre et à ne pas faire assez d’exercice. Cette fois, je renonce donc à vous donner une longue liste de changements de mode de vie, optimisation alimentaires, stratégies nutritionnelles, complémentation, gestion du stress, types d’exercices physiques que vous pouvez faire pour améliorer votre santé. Je préfère que vous retourniez dans mes lettres ou dans les publications auxquelles vous êtes abonné et que vous choisissiez une ou deux choses que vous ne faites pas encore prendre de la simple vitamine D tous les jours, par exemple, ou des oméga-3, la base de la base, et que vous vous y teniez. Devenez un as de la cardiologie en 20 secondes Je vous ai décrit le fonctionnement des bêta-bloquants, pour vous montrer qu’il n’y avait aucun miracle dessous. Mais les autres médicaments utilisés en cardiologie fonctionnent selon la même logique fibrates, anti-cholestérol statines, anti-coagulants divers warfarine, aspirine, sartans antihypertenseurs… Tous ces médicaments sont des produits chimiques qui bloquent votre métabolisme normal, créant ainsi un effet jugé désirable dans votre état de santé actuel baisse de la pression sanguine, ralentissement du cœur, liquéfaction du sang, baisse des lipides graisses dans le sang. Mais ce n’est pas la même chose qu’une véritable guérison, ni même qu’une authentique amélioration de votre santé. Ces mêmes effets, chez un autre patient, pourraient au contraire être jugés fortement indésirables, voire dangereux pour celui dont la tension est trop basse, le cœur trop faible, le sang trop liquide, ou qui manque de cholestérol car le cholestérol est une molécule très précieuse, et pas un poison. Tous ces médicaments provoquent des changements dans le corps qui vont contre la nature et l’équilibre normal de votre organisme. Cela casse des mécanismes d’auto-régulation. On vous dit c’est bon pour vous, dans votre cas », et sans doute est-ce vrai. Mais cela n’empêche pas que vous deviez absolument comprendre ce qui se passe dans votre corps quand vous les prenez. C’est votre corps. Ces blocages, modifications, altérations, voire destructions irréversibles de certaines fonctions peuvent toujours avoir des conséquences, parfois graves, et ce sera à vous de les assumer le jour où cela se produit même si vous faites un procès à votre médecin, ou au laboratoire, ce n’est pas ça qui vous guérira. Si les patients les comprenaient bien, si on leur expliquait en toute transparence ces risques, nombreux sont ceux qui choisiraient les approches naturelles. Car les solutions naturelles s’attaquent réellement aux causes des maladies. Elles n’ont aucun effet secondaire indésirable, uniquement des effets secondaires désirables baisse du risque diabète, baisse du risque de caillot, de phlébite, meilleure forme physique, meilleur moral, meilleure résistance aux maladies et au infections. A votre santé ! JM Dupuis Sources [1] [2] [3] Face à la pléthore de propositions, les parents sont souvent perdus. Faut-il à tout prix que les enfants se réalisent en dehors de l’école et de la famille ? À quel âge commencer la première activité ? Comment la choisir sans être influencé par ses propres envies ? Les réponses de Claire Leconte, professeure émérite de la psychologie de l'éducation. Quel est le rôle de l'activité extra-scolaire dans le développement de l'enfant ? Une activité en dehors de l’école apporte à l’enfant une ouverture sur un autre groupe que celui de la classe ou de la famille. Il découvre qu’il possède certaines compétences qui ne sont pas forcément développées ailleurs. En découvrant son potentiel, l’enfant gagne confiance en lui. L'activité extra-scolaire est-elle indispensable pour son épanouissement ? Non, il s'agit d'un plus par rapport à l'école, mais il ne faut surtout pas obliger un enfant à faire une activité sous prétexte que c’est bon pour lui. Si à la maison, il a la possibilité de faire de la pâtisserie avec ses parents, de jouer au ballon ou de faire des sorties, il n’a pas forcément besoin de pratiquer une autre activité. Toutefois, si les seules options sont de regarder la télévision ou de jouer aux jeux-vidéo, il vaut mieux que l'enfant soit à l’extérieur de chez lui. À l’heure de choisir l’activité, faut-il se diriger vers ses centres d’intérêt et aptitudes naturelles afin de les développer? Non, il est préférable d’éviter d’orienter l’enfant vers ce qu’il connait déjà. Il ne faut pas l'emmener à se spécialiser trop tôt dans un domaine particulier. Le but de l’extra-scolaire est de lui permettre de connaître un univers vers lequel il ne serait pas allé spontanément. Un enfant très physique peut s’épanouir dans autre chose qu’une activité sportive. Dans un cours de théâtre, il peut découvrir qu’indépendamment du défoulement physique, il existe un défoulement intellectuel. Les parents s’imaginent parfois que l’enfant va se découvrir un talent grâce à son activité. Est-ce un leurre? En voyant leurs enfants en haut de la pyramide de cette activité-là, ces parents leur mettent une double pression, celle de l’école et de l’extra-scolaire. Vers l’âge de 7 ans, après trois années de pratique, l’enfant peut se prendre de passion pour un domaine, mais ce sera son choix et non celui des parents. À quel âge peut-on commencer? Il n'existe pas de règle. On peut commencer dès tout petit avec une activité comme les bébés nageurs, par exemple. Pratiqué en famille ce type de loisirs permet de lutter contre la peur de l'eau et de passer des moments avec les parents. Plus tard, ces petits auront plus tendance à aller vers des activités extérieures. On peut continuer avec d'autres activités à l’école enfantine, mais il faut avant tout écouter l'enfant. Certains préféreront rêvasser à la maison que de courir d'un cours à un autre et il faut respecter cette envie-là. Il est préférable d’éviter d’orienter l’enfant vers ce qu’il connait déjà Claire Leconte, spécialiste en psychologie de l'éducation Comment fait-on si notre enfant ne se plaît pas dans une discipline dès le cours d'essai. Faut-il insister? Un seul cours ne suffit pas pour savoir si on va aimer ou non la discipline. L’idéal est de se diriger vers des associations qui proposent trois essais. Si au bout de trois fois, le petit traine des pieds pour ne pas y aller, il ne faut pas insister. Il vaudrait mieux en parler avec lui pour comprendre ce qui ne lui plait pas. Ce n’est pas forcément l’activité en elle-même, mais peut être l’enseignant, le contexte ou l’environnement. À combien d’activités peut-on inscrire son enfant sans le surcharger? À l'école enfantine, une seule par semaine suffit largement. A partir de la 3H, il peut en faire deux, à condition de varier le type de disciplines. S’il fait déjà un sport collectif, je recommande que la deuxième activité soit plutôt individuelle. L’horaire est également important, on veillera à ne pas programmer de cours de sport après 18 heures. Vous alertez sur la suractivité des enfants et prônez le droit à ne rien faire. Pourquoi est-ce important pour leur développement? Je milite pour que l’enfant ait des vrais moments de détente sans toujours devoir se dépêcher. Une activité extra-scolaire ne se fait pas sans contrainte car on doit respecter un horaire. Or l’enfant a besoin de moments sans pression. Par exemple, quand il dit qu’il s’ennuie, cela signifie qu’il a du temps pour lui. On ne doit pas lui dire qu’on va lui trouver quelque chose à faire. Il se rendra compte petit à petit compte que c’est aussi un plaisir de regarder les mouches voler. Sevin Rey/Le Figaro Les Décodeurs En un graphique EN UN GRAPHIQUE – Derrière la génération dorée » des Federer, Nadal et Djokovic, l’heure est à la longévité la moyenne d’âge des 100 meilleurs mondiaux du tennis masculin est passée de 24 ans en 1985 à 28 pour la saison 2017. Roger Federer, 37 ans, est en demi-finale de Roland Garros. Une histoire de dépassement de soi, de victoires arrachées au mental ? Le maestro » suisse n’en manque pas. Mais en regardant d’un peu plus près, on constate que sa longévité record est en phase avec son époque la tendance est très nettement à l’allongement de carrière pour les joueurs de tennis, toujours plus âgés au meilleur niveau. On ne trouvait que six trentenaires dans le top 100 ATP en 1986. Ils étaient 40 en 2017. Les succès des seniors » sur les courts tirent mécaniquement vers le haut la moyenne d’âge du tennis masculin les 100 meilleurs joueurs du monde avaient en moyenne 24 ans en 1985, contre 28 ans trois décennies plus tard. Une partie de l’explication est à chercher du côté de la médecine, devenue un ingrédient essentiel de la recette qui fait des champions. La prise de conscience est générale. D’après Caroline Martin, ancienne joueuse et entraîneuse, aujourd’hui chercheuse en biomécanique du tennis à l’université Rennes-II Il est aujourd’hui impensable pour les joueurs du top 100 de ne pas s’entourer d’au moins un préparateur physique en plus de leur coach sportif. » Pour les mieux classés qui sont aussi les plus riches, c’est une armée d’experts qui gravite désormais autour d’eux coachs physique et mental, kiné, ostéopathe, expert de la récupération… Ces équipes aux allures de petites entreprises bénéficient aussi d’outils de plus en plus pointus » La chercheuse explique que ces équipes aux allures de petites entreprises bénéficient aussi d’outils de plus en plus pointus ». La récupération d’après match se fait grâce à la cryothérapie, qui n’existait pas il y a trente ans, la nutrition s’est imposée dans la gestion quotidienne du sportif, et les joueurs n’hésitent plus à subir des opérations chirurgicales qui les laissent moins longtemps sur le carreau. En résultent une meilleure gestion des organismes et le développement de stratégies sur le très long terme. Roger Federer a fait l’impasse sur Roland-Garros quatre années de suite afin d’augmenter au maximum ses chances pour le reste de la saison. Résultat une place de numéro un mondial en 2018, à 36 ans et après vingt saisons passées sur le circuit pro. Théo Mercadier Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. 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